La résonance magnétique, introduite à titre d’outil d’imagerie médicale dans les années 1980, utilise le magnétisme, les ondes radioélectriques et les ordinateurs pour acquérir des images médicales. Quoi qu’il s’agisse d’une technologie encore jeune, elle est bien enracinée dans la pratique médicale, notamment pour :
La nature unique de cette technologie pose des exigences particulières en matière d’imagerie, de soins aux patients et de sécurité. Étant donné que la résonance magnétique n’a pas recours aux rayonnements ionisants, la radioprotection n’est pas nécessaire. Par contre, les patients doivent enlever tout objet de métal qui risque d’être attiré à l’équipement de résonance magnétique. Les patients munis d’un stimulateur cardiaque ou de tout autre implant métallique ne peuvent subir d’examen par résonance magnétique en raison du potentiel de dommage à ces dispositifs. La claustrophobie peut gêner certains patients. Les examens par résonance magnétique exigent que le patient soit introduit dans un tunnel de la longueur du corps, soit le cour du champ magnétique. Dans le cadre de ses responsabilités professionnelles, le technologue :
Certaines procédures de résonance magnétique exigent le recours aux substances de contraste. L’image obtenue suite à l’examen par résonance magnétique apparaît généralement sur un écran d’ordinateur, ou encore sous forme de photographie ou d’imprimé d’ordinateur.